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ASEA et le prix Nobel de médecine 1998

Ferid Murad Prix Nobel

C’est en 1998, à la suite du prix Nobel de physiologie et de médecine portant sur la découverte de l’oxyde d’azote (une nouvelle molécule de signalisation Redox dans le système cardiovasculaire), que la communauté scientifique a réalisé sans doute que les molécules de signalisation Redox existaient. C’est aussi à ce moment que le monde scientifique met en lumière le rôle essentiel de ces molécules pour la santé cellulaire et le fonctionnement de l’organisme. En effet on sait aujourd’hui que les molécules de signalisation Redox pilotent absolument tous les processus cellulaires vitaux.

À la suite de ce prix Nobel, la recherche concernant la découverte de nouvelles molécules de signalisation s’est intensifiée. Leurs divers rôles et leurs voies spécifiques sont devenues une priorité élevée en science de la santé.

Ce domaine de la science a littéralement explosé comme un nouveau paradigme passionnant de la santé, avec des comités de recherche médicale de plus en plus impliqués et nombreux. C’est le paysage dans lequel est née la découverte devenue ASEA.

La molécule de signalisation découverte, qui a abouti au prix Nobel, était de l’oxyde d’azote (NO). Par l’ensemble de leurs travaux, les chercheurs à l’origine du prix Nobel (Ferid Murad, Robert Furchgott et Louis J. Ignarro) ont dévoilé un mécanisme, jusque-là complètement inconnu : ce sont les molécules de signalisation Redox qui commandent le relâchement et la dilatation des vaisseaux sanguins de l’organisme. Plus précisément, ils démontrent que l’oxyde d’azote (molécules de signalisation Redox) est un puissant régulateur pour le cœur, il agit en augmentant le diamètre des vaisseaux sanguins dans l’organisme. Ils observent que les cellules de l’endothélium, la couche intérieure de la paroi des vaisseaux sanguins, produisent une molécule de signalisation jusque-là inconnue, qu’ils nomment facteur relaxant dérivé de l’endothélium (ou EDRF, pour endothelium-derived relaxing factor). Cette molécule signale aux cellules musculaires lisses de la paroi des vaisseaux sanguins qu’elles doivent se relaxer. En d’autres termes, pour simplifier, les cellules des parois vasculaires produisent des molécules de signalisation Redox pour leur bon fonctionnement.

Toutefois l’oxyde nitrique ne fait PAS partie des molécules de signalisation dans ASEA REDOX. Il s’agit d’une confusion courante chez les Associés ASEA, qui entraîne parfois des déclarations fausses concernant ASEA et un prix Nobel de 1998. Néanmoins le caractère inaugural de ce prix Nobel a lancé et accéléré la recherche plus minutieuse des molécules de signalement. La découverte de l’oxyde d’azote en tant que molécule de signalisation a amorcé l’expansion d’un nouveau domaine scientifique : le monde de la biologie Redox.

Concernant la prouesse ASEA : Les capacités de signalisation, les voies génétiques induites, le rôle et les fonctions des molécules de signalisation redox qui se trouvent dans le SUPPLÉMENT DE SIGNALISATION CELLULAIRE ASEA ont été découverts au cours des années qui ont suivi ce prix Nobel de physiologie et médecine.

ASEA est composé d’eau (H2O) et de sel (NaCl). Ceux-ci par un procédé électrochimique sont divisés en hydrogène élémentaire (H2), oxygène (O2), sodium (Na), chlore (Cl), puis recombinés en molécules de signalisation Redox. Voici quelques exemples de ces combinaisons moléculaires, telles qu’elles sont répertoriées dans les brevets ASEA : H2O2, O3, NaOH, OH, NaClO, HOCl). Cependant, rappelez-vous, il n’y a pas d’oxyde d’azote dans nos étincelles de vie.

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