Vous allez découvrir pourquoi la découverte de ce scientifique est intéressante pour toutes personnes passionnées par les molécules de signalisation redox d’Asea.
- Si vous n’avez pas étudié la biologie cellulaire, vous n’avez surement jamais entendu le mot « autophagie », je vais donc vous expliquer de quoi il s’agit de manière très simplifiée. (Il s’agit d’un mot que beaucoup de professionnels de la santé ont re-découvert à l’issue de ce prix Nobel de médecine 2016).
Alors qu’est-ce que l’autophagie? Le système autophagie-lysosome permet la dégradation des composants cellulaires (protéines et organites).
L’autophagie, du grec « soi-même » et « manger », est un mécanisme très conservé au cours de l’évolution permettant la dégradation et le recyclage des composants cellulaires.
Le dysfonctionnement de ce processus peut induire un état pathologique décrit dans de nombreuses maladies qu’elles soient métaboliques, cardio-vasculaires, oncologiques ou encore neurodégénératives.
La Fondation Nobel a d’ailleurs continué à décrire les maladies qui sont liées à une autophagie perturbée et inefficace.
Les scientifiques étudiant le comportement cellulaire dans les années 1960 ont découvert qu’une cellule pouvait dégrader une partie de son propre contenu en la transportant dans un autre compartiment appelé le lysosome.
- Ce processus s’appelle autophagie ou » auto-manger « . La découverte révolutionnaire de Yoshinori Ohsumi a montré que le lysosome n’était pas une décharge de déchets mais une usine de recyclage. Ce scientifique a donc démontré que l’autophagie n’est pas juste un processus de déversement de déchets, mais un processus qui recycle les composants cellulaires.
Le recyclage cellulaire? - C’est le processus de transformation des déchets en nouveaux matériaux cellulaires utilisables. Imaginez ce que cela représente, utiliser les déchets fonctionnels pour en constituer des matériaux organiques utilisables par l’organisme de manière totalement physiologique.
Toute personne passionnée par les molécules de signalisation Redox devrait trouver cela intéressant. Pourquoi ?
Parce que les molécules de signalisation redox étaient aussi incomprises que l’autophagie avant les années 60 et les scientifiques pensaient de la même façon que les molécules de signalisation redox étaient des déchets inutiles, sous-produits du métabolisme cellulaire (respiration cellulaire- cycle de Kreps). Tout comme le lysosome était autrefois considéré comme une benne au lieu d’une « usine de recyclage », les molécules de signalisation redox étaient confondues à tort avec des déchets de la respiration cellulaire. Les mitochondries elles-mêmes sont recyclées pendant l’autophagie, elles sont aussi recyclées pendant leur vie.
La mitochondrie, organite clé du fonctionnement cellulaire utilise les molécules d’eau et de sel à l’intérieur des cellules pour créer des molécules natives indispensables à la vie «molécules de signalisation redox ». Ces mêmes molécules se retrouve dans la solution équilibrée ASEA REDOX, des molécules essentielles pour maintenir l’homéostasie et la capacité du corps à se réparer. Tout comme les maladies ont été liées à un processus perturbé et inefficace de recyclage » d’autophagie « , les maladies ont également été liées à un processus perturbé et inefficace de » recyclage » (réutilisation) de l’eau et du sel des cellules afin de faire des molécules de signalisation redox.
Le déséquilibre redox est à l’origine de nombreux dysfonctionnement de santé et Pour la première fois de l’histoire, nous avons à notre disposition un supplement en molecules de signalisation redox, qui redonne au corps son propre pouvoir d’auto-réparation et de regeneration ! ASEA apporte aux cellules qui en ont besoin, des molécules d’oxydo-réduction actives comme celles que vous créez vous-même, mais dans les quantités dont vous avez besoin.